Les encours du 10

Sur une proposition de Passiflore, voilà mes encours du mois !

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1 – Pour commencer, je vais évoquer les encours du moment qui concernent mon travail, mais qui occupent beaucoup de mon temps ces dernières heures. Dimanche, avec quelques collègues et quelques patients, nous participons à un marché de Noël dans un village voisin de celui de l’hôpital

En ce qui me concerne, j’expose de nombreux objets en mosaïques abandonnés sur les étagères de l’atelier, pour de diverses raisons, par les patients qui l’ont fréquentés durant l’année. J’y ajoute quelques pots que je confectionne parfois en séance, pour les accompagner quand ils sont suffisamment autonomes pour œuvrer solo. L’intégralité des ventes revient aux patients sous divers formes, telles que des visites culturelles ou des sorties restaurant par exemple

2 – Octobre s’en est allé, laissant d’Inktober, 31 dessins rassemblés en un carnet fait maison. Mais Novembre m’a titillée et j’ai trouvé un nouveau défi sur Instagram #mistydayvember

Voilà mes créations…

Pour la mer de nuages, mon cerveau n’en a fait qu’à sa tête, et a mixé nuages et mer !

Idem, pour les 1ers froids… d’abord un dessin, mais j’étais mitigée… du coup j’en ai dessiné un deuxième !

Dans le dernier, j’ai juste occulté « cosy » et retenu « jeux d’hiver »

Et je m’en moque un peu, le plaisir est tout de même là pour moi !

3 – Enfin, j’ai envie de vous parler de ce livre commencé il y a peu, n’ayant pas assez de temps actuellement pour me poser vraiment…

Il s’agit d’un livre réédité en poche de Pierre Rigaux (Militant pour l’écologie, la cause animale et l’abolition de la chasse)

« Pas de fusils dans la nature »

En voici la quatrième de couverture :

« Non, les chasseurs ne sont pas, comme ils le proclament, les « premiers écologistes de France ». Non, la chasse ne protège pas la nature. Grâce à une approche scientifique, documentée, implacable, ce livre démontre à quel point la chasse est un désastre écologique. L’élimination des animaux dits « nuisibles » qui ne le sont en fait pas, les « régulations » censées garantir un équilibre écologique qui ciblent certaines espèces en voie de disparition, les réserves naturelles gérées par les chasseurs, le vrai scandale du sanglier… Au terme d’une enquête inédite, avec des exemples de terrain dans toute la France, l’auteur livre toutes les données scientifiques, les chiffres vérifiés, et nous révèle le coût caché de la chasse en termes de perte de biodiversité, d’impacts sur l’environnement et de fracture sociale. On peut aimer la nature sans tuer les animaux. »

Pierre Rigaux est naturaliste- écologue de métier depuis une vingtaine d’années, travaille comme lanceur d’alerte /enquêteur indépendant pour informer sur des pratiques méconnues d’atteinte à la biodiversité ou aux animaux.

Son objectif : contribuer à obtenir sur le long terme des changements législatifs en faveur d’une meilleure prise en compte de la biodiversité et des animaux

Ses principaux moyens d’action : informer et mobiliser les citoyens et les représentants politiques à travers des investigations, des reportages vidéos, des articles et des livres.

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